Entreprises sociales, ONG, fondations, associations… : de nombreuses structures placent l’intérêt général au cœur de leurs activités et ambitionnent de produire un impact social « positif » sur leurs environnements.
Dans un contexte d’exposition accrue, où les attentes de leurs parties prenantes (pouvoirs publics, bailleurs, citoyens, etc.) sont à la mesure de la confiance placée en elles, ces structures sont de plus en plus incitées à faire la preuve concrète et mesurable de leur capacité à générer une plus-value sociale.
Le plus souvent, elles ont par ailleurs besoin d’informations pour améliorer leurs pratiques, le pilotage de leurs activités et ainsi maximiser l’impact social qu’elles entendent produire sur les territoires où elles sont implantées.
On peut définir l’impact social comme l’ensemble des effets (positifs ou négatifs) engendrés par une organisation sur son environnement, au-delà du seul aspect économique. Cet impact ne se décrète pas, mais se prouve au quotidien.
De nombreux outils et méthodes ont été développés au cours des dernières années pour évaluer l’impact social, reposant sur différentes approches, parmi lesquelles :
Bien que ces outils soient encore peu utilisés et principalement mobilisés dans le cadre de démarches exploratoires et/ou relevant de la Recherche et Développement, l’évaluation de l’impact social intéresse un nombre croissant d’acteurs, en France et à l’international.
Piloté par Jacques Dasnoy, Délégué Général du Mouves (Mouvement des entrepreneurs sociaux en France), l’atelier de réflexion a réuni :
Parmi les questions à l’ordre du jour :
D’autres ateliers sur ce thème seront organisés en 2014 et 2015 pour poursuivre la réflexion et parvenir à des recommandations à destination des différents acteurs concernés.